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Le jour s'est déchiré quand du ciel les nuages sont tombés
Eclair synthétique, la mort descend des dieux technologiques
Chaleur écrasante, un enfant roi sous les pluies combattantes
La nuit est venue, les flammes avec elle à travers les rues
Etrange exil, le souvenir d'une blessure indélébile
L'hiver de trop, qui s'entête, qui tempête à nouveau
Fantôme électrique, l'enfant ingrat des voix technocratiques
Le roi a parlé, la lumière en ces lieux sera écartée
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Entends les cris, la douleur, d'en dessous oh oh
Ombres indécises, les démons sans fin se précisent
On regarde à travers les murs en papier nous protègent
On tremble, vite, laisse les faire et oublies ces voix dans ta tête
Infâmes chants, danses et rires, les esprits s'amusent à revivre
Encense les sans les voir, les cadavres perdus sans leur temple oh oh
On peint des signes et on aura la paix
Sentant les mains divines les esprits se terminent
Leur repos jamais pris, tout en continuant dans l'obscène
Encore pire dans nos rêves, on respire, à croire qu'on les aime oh oh
Entends les cris la douleur d'en dessous la plaine oh oh
Ombres indécises, ces esprits tyrannisent
On regarde de travers et on tremble, laisse les faire, infâmes
Chants, danses et rires, ces esprits te réclament
Oh oh, sors à la fête et laisse les t'emmener dans le temple en haut
Sens ta faiblesse et laisse toi aller dans la tombe oh oh
Encore un effort, laisse toi dévorer,
Plus tôt sera la trêve, mais encore ces cris sourds oh oh
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